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Troubles et risques

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Troubles du sommeil...

Les troubles du sommeil incluent :

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  •     insomnie primaire : difficulté chronique à s'endormir et/ou à maintenir un sommeil lors qu'aucune cause ne peut être perçue 

  •     bruxisme : grincement ou claquement involontaire des dents durant le sommeil 

  •    syndrôme de retard de phase du sommeil : incapacité à s'endormir ou à se réveiller durant des heures socialement acceptables mais ne causant aucun problème dans la maintenance du sommeil, un trouble du rythme circadien (symptôme similaire - syndrome hyper nycthéméral) 

  •     hypopnée : anomalie de l'amplitude respiratoire durant le sommeil 

  •     narcolepsie : sommeil soudain souvent spontané à toute heure du jour 

  •     cataplexie : soudaine faiblesse des muscles moteurs pouvant résulter à une chute sur le sol 

  •     terreur nocturne : trouble nocturne caractérisée par une forte peur et anxiété 

  •     somnambulisme : activité engagée physiquement et inconsciemment durant le sommeil 

  •     somniphobie : peur de dormir 

  •     apnées du sommeil : arrêts respiratoires 

 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Source : wikipédia

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Si vous suspectez certains de ces troubles, n'hésitez pas à en parler à votre médecin pour demander un examen de vos troubles du sommeil à domicile.

Somnolence au volant ?

Elle est responsable d’un accident mortel sur trois.

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Les signaux d’alertes sont à repérer : difficultés à garder les yeux ouverts, raideur de nuque, bâillements, distraction ; car la marge entre la baisse de vigilance et l’endormissement est très étroite.

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Quand ils apparaissent, une courte sieste de 10 à 15 min est nécessaire, si possible précédée d’un café. Pour l’anticiper une pause de 15 min toutes les 2 heures est nécessaire.

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Les périodes de forte somnolence se situent entre minuit et 6 H du matin, ainsi qu’entre 14 et 16H.

Dyssomnies..

Troubles du sommeil fréquents..

Lorsque notre sommeil n'est pas récupérateur, notre qualité de sommeil diminue et sa durée est altérée.

Si nous ne dormons pas assez profondément, il nous arrive de devoir trop dormir pour bénéficier des fonctions récupératrices de notre sommeil.

Trop ou pas assez, voilà ce qui caractérise les dyssomnies et fait d'elles des troubles du sommeil.

Si nous avons un manque de sommeil ce sont les insomnies et à l'inverse, si nous avons des excès de sommeil ce sont les hypersomnies.

Lorsque nos cycles de sommeil sont décallés, on parle alors de troubles du rythme circadien.

Vous trouverez des compléments d'informations sur la partie introduction de notre sommeil.

Hypersomnies..

Somnolence fréquente la journée..

Nous dormons en moyenne 6 à 8 heures par nuit afin de bénéficier des fonctions récupératrices de notre sommeil.
Les individus souffrant d'hypersomnies dorment davantage d'heures mais ne bénéficient néanmoins pas forcément de ces fonctions qui réparent. Ils subissent des phases de somnolence tout au long de la journée.
 
Certains d'entre eux subiront aussi des phases d'endormissement involontaire, totales ou partielles, souvent dangereuses. Ces hypersomnies sont des troubles du sommeils provoqués entre autres par des apnées du sommeil, des ronflements, la narcolepsie, ...

Ronflement..

Quelques précisions..

A certains stades du sommeil, tout le monde est susceptible de ronfler. A 40 ans, cela touche 60% des hommes et 40% des femmes.Le ronflement est un phénomène oscillatoire qui implique les structures molles situées dans les voies aériennes. Si celles-ci sont rétrécies, la vibration des structures molles va entraîner le bruit du ronflement.

Il y a deux catégories de ronflement : le bénin et le malin, dit "le perturbant" qui atteint parfois 100 Décibels.

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Selon une étude, le ronfleur interrogé sur ses ronflement est souvent dans le déni, comme si c'était un délit. "ce n'est pas moi, je n'ai rien fait"

Si le ronfleur cesse soudain de respirer, un ronflement intense suit souvent. Dans les formes graves, ces épisodes de cessation de respiration peuvent se produire jusqu'à 400 ou 500 fois par nuit.

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En fait, les personnes qui souffrent de cette affection ont un sommeil de très mauvaise qualité et sont sujettes à de la somnolence voire des phases d'assoupissement durant la journée.

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Quelques facteurs favorisants :


       -  alcool - tabagisme
       -  médicaments 
       -  obésité

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